dimanche 3 septembre
… écouté à trois moments dans la journée - petit déjeuner, thé de cinq heures et diner - le nouveau disque de Debarre et Beier. On profite de la douceur du temps, de l’absence de vent, habituelle à Pau, et de la protection des charmes, dont les feuilles commencent à peine à jaunir, pour passer le plus de temps possible sur la terrasse. Les repas sont interminables. En tout cas, ils ne durent pas moins que le disque lui-même. Après avoir traversé la maison, la musique se disperse dans le jardin par les fenêtres ouvertes.
- « Entre ciel et terre, Angelo Debarre et Ludovic Beier », 2006 City Record et Le Chant du Monde.
Quelques réflexions à chaud :
- Ce disque s’inscrit comme quatrième dans une série qui ressemble de plus en plus à une œuvre cohérente, après « Swing Rencontre » en 2002 (réédition en 2006), « Come into my swing ! » en 2003, « Entre amis » en 2004. Au rythme d’un disque chaque année, à peu de choses près, on se dirige tout droit vers un monument de l’accordéon et de la guitare manouche. Faudrait-il dire accordéon et guitare manouches ?
- Le résultat reste d’autant plus ouvert qu’à côté des standards, on trouve des compositions originales.
- Pour ma part, si la série continue, j’aimerais beaucoup, à côté des incontournables comme Django Reinhardt ou Stéphane Grappelli ou Gus Viseur, retrouver Cole Porter, Donaldson, Duke Ellington ou Charlie Parker. C’est dire que du côté du jazz aussi, la série est ouverte.
- J’ai noté que dans les quatre disques il y a parfois un ou quelques invités différents, mais dans tous les cas Antonio Licusati est présent à la contrebasse… et sa présence est loin d’être accessoire. Pourquoi dès lors son nom ne figure-t-il pas en couverture ? Pourquoi ne s’agit-il pas d’un trio ?
- Depuis le deuxième disque, « Come into my swing ! », les textes de présentation sont signés Max Robin… ce qui leur donne une unité évidente dans un registre à la fois technique et amical.
- Une question m’intrigue. La présentation du disque mentionne qu’Angelo Debarre joue sur une guitare Christelle Caillot et utilise des cordes Savarez Argentine. Or, il nous a semblé, sur certains morceaux, entendre une sonorité de guitare différente de la sonorité habituelle de la guitare d’Angelo Debarre… Et justement, dans la présentation des musiciens, son nom est accompagné de « guitares », au pluriel… De plus, dans les remerciements, on note le nom d’Alain Cola et des guitares Dell’Arte… Alors ? Une ou plusieurs guitares ?
- « Entre ciel et terre, Angelo Debarre et Ludovic Beier », 2006 City Record et Le Chant du Monde.
Quelques réflexions à chaud :
- Ce disque s’inscrit comme quatrième dans une série qui ressemble de plus en plus à une œuvre cohérente, après « Swing Rencontre » en 2002 (réédition en 2006), « Come into my swing ! » en 2003, « Entre amis » en 2004. Au rythme d’un disque chaque année, à peu de choses près, on se dirige tout droit vers un monument de l’accordéon et de la guitare manouche. Faudrait-il dire accordéon et guitare manouches ?
- Le résultat reste d’autant plus ouvert qu’à côté des standards, on trouve des compositions originales.
- Pour ma part, si la série continue, j’aimerais beaucoup, à côté des incontournables comme Django Reinhardt ou Stéphane Grappelli ou Gus Viseur, retrouver Cole Porter, Donaldson, Duke Ellington ou Charlie Parker. C’est dire que du côté du jazz aussi, la série est ouverte.
- J’ai noté que dans les quatre disques il y a parfois un ou quelques invités différents, mais dans tous les cas Antonio Licusati est présent à la contrebasse… et sa présence est loin d’être accessoire. Pourquoi dès lors son nom ne figure-t-il pas en couverture ? Pourquoi ne s’agit-il pas d’un trio ?
- Depuis le deuxième disque, « Come into my swing ! », les textes de présentation sont signés Max Robin… ce qui leur donne une unité évidente dans un registre à la fois technique et amical.
- Une question m’intrigue. La présentation du disque mentionne qu’Angelo Debarre joue sur une guitare Christelle Caillot et utilise des cordes Savarez Argentine. Or, il nous a semblé, sur certains morceaux, entendre une sonorité de guitare différente de la sonorité habituelle de la guitare d’Angelo Debarre… Et justement, dans la présentation des musiciens, son nom est accompagné de « guitares », au pluriel… De plus, dans les remerciements, on note le nom d’Alain Cola et des guitares Dell’Arte… Alors ? Une ou plusieurs guitares ?
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