dimanche, octobre 15, 2006

dimanche 15 octobre
















… je continue à mettre de l’ordre dans mes notes du week-end :

- samedi matin, retour à Pau… d’où nous repartons immédiatement pour Hossegor. Nous devons en effet vider la villa de son contenu pour pouvoir y faire quelques travaux de rénovation. Les Pyrénées sont sur notre gauche, superbes. Le soleil d’hier a fait fondre les premières neiges, les montagnes sont bleues et grises ; le Pays basque est magnifique avant la sortie de Peyrehorade. Nadja et Sébastien nous ont précédés. La journée sera consacrée à remplir un camion de location et à faire des cartons avant le retour à Pau où nous entreposerons meubles, livres, revues, coussins, literies, etc… etc… Petite pause à 13 heures : bistrot dans le jardin ! A l’aller et au retour, nous écoutons « En vivo en la Argentina » et, bien sûr, on ne se lasse pas des rythmes des chamamés et autres milongas.
- le soir, alors que nous sommes un peu fatigués de jouer les déménageurs et de continuer à essayer de tout caser, nous écoutons encore et encore ce même disque.
- aujourd’hui, dimanche, à nouveau, aller-retour Pau – Hossegor… toujours pour cause de déménagement. A nouveau, une route superbe. Pas un nuage dans le ciel. Nous déjeunons dans le jardin : il ne nous reste plus qu’une table et quatre chaises… C’est comme un bistrot improvisé. Il nous reste encore un lecteur de cd… on en profite pour faire écouter « En vivo la Argentina » à Nadja et à Sébastien. En attendant de leur faire écouter l’anthologie.
- … et pendant le retour vers Pau, même si nous nous sentons un peu ridicules, Françoise et moi, nous écoutons encore ce même disque. On y retrouve « Tren Expreso » que Barboza a joué à Ramonville et qu’il semble affectionner particulièrement. Je note aussi qu’il joue sur certains titres avec Leon Gieco ou avec Chango Spasiuk.
- … et en écrivant ces quelque mots, je ne me lasse pas d’écouter encore quelques uns des treize titres…
- il faut noter qu’il s’agit d’un disque Frémeaux & Associés et La Lichère. Cela suffit pour en dire la qualité à la fois politique et esthétique.