lundi, novembre 13, 2006

mardi 14 novembre

… cherché quelques informations sur l’accordéoniste Françoise Arnoux, dont le nom est cité, page 34 du numéro 58 de la revue « Accordéon et accordéonistes », à l’occasion du compte-rendu de la 18ème édition des « Nuits de nacre ». Le paragraphe qui lui est consacré ou, plus exactement qui est consacré à la prestation du groupe MaM, qu’elle forme avec François Michaud, violon, et François Parisi, accordéon, me donne envie d’en savoir plus et surtout d’en écouter quelque chose.

D’autant plus que la critique de leur disque, « Jazz in my musette », page 64, renforce ce désir. Cette critique en effet développe avec des précisions sur quelques titres une précédente critique, déjà enthousiaste, mais brève et allusive, page 61, numéro 45 de la même revue. Autre argument : la critique du numéro 58 est signée F.J. – Françoise Jallot -, une signature que j’apprécie beaucoup pour ses analyses de disques et pour ses dossiers.

Une enquête rapide me permet de recueillir les informations suivantes :

- sur Alapage, offre d’achat, sans extraits à écouter, de Mam, « Jazz in my musette » (14 titres, 2005). A noter que le même disque figure à deux lignes d’intervalle avec deux prix différents sous les désignations « Jazz/blues, Cd Import, 20 euros » et « Techno/Electro, 19, 12 euros». L’un est disponible en 7 jours, l’autre en 1 à 2 semaines. Le temps de l’exporter avant de l’importer, je suppose. Sans commentaires !
- sur Alapage encore, possibilité d’écouter des extraits et de télécharger de Mam, « Gouttes d’eau » (14 titres, 2005) et « Franche contrée » (13 titres, 2005) ; même chose sur iTunes.
- sur la Fnac, possibilité d’écouter des extraits et de télécharger les deux mêmes albums, plus, de Viviane Arnoux et François Michaud (duo et non groupe MaM), « Cheval rouge » (14 titres, 1995). Ce disque est noté épuisé sur Alapage.

L’ensemble m’a paru éclectique, comme s’il s’agissait de parcourir un panorama large et d’expérimenter les ressources de l’accordéon. En première écoute (d’extraits), ça donne envie d’approfondir l’impression initiale agréable. Agréable, voilà, c’est ça !