jeudi, novembre 30, 2006

vendredi 1er décembre

En parcourant les nouveaux articles ajoutés par Caroline Philippe, pages 52 et 53 de son blog, j’ai découvert Joao Gentil, un accordéoniste portugais qui m’était totalement inconnu et dont j’ai pu écouter plusieurs morceaux in extenso sur son site :

http://www.joaogentil.com/multimedia.asp

On y trouve en effet sept titres :

- Adios Nonino, 5 :11
- All of Me, 3 :54
- All the Things you Are, 4 :58
- Garota de Ipanema, 5:17
- Libertango, 5:14
- Love Story, 5:40
- Spleen, 1:50

Agréable parenthèse dans mon projet, dont il est maintenant temps de reprendre le fil. On en est à la lettre S. D’entrée, je retiens deux disques de Frédéric Schlick, digne successeur d’Art Van Damme, avec ses complices privilégiés, André Ceccarelli et Biréli Lagrène :

- « New Accordeon »
- « Art for Art »

Ensuite, René Sopa :

- « Sandunga »
- « Nuits parisiennes »
- « Crazy Rythm »

Je suis très fier d’ailleurs d’avoir reçu ces deux derniers albums en pré-distribution de la part de René Sopa, lui-même. Leur couverture est encore provisoire ; elles gardent une allure artisanale et c’est bien. J’ai noté les titres à la main en attendant les couvertures définitives que René Sopa m’a promises. Je ne lui ai pas signalé, mais je reste perplexe devant le titre « Crazy Rythm ». Je m’interroge : ne faudrait-il pas choisir entre « rythme » ou « rhythm » ? A moins de fabriquer, en toute connaissance de cause, un néologisme.

Puis, un disque que j’aime bien écouter à côté de Barboza ou des frères Flores :

- « Chango, The Charm of Chamamé » de Spasiuk

En T, d’abord trois disques du Taraf de Haïdouks avec plusieurs accordéonistes, tous aussi « fous » les uns que les autres :

- « Dumbala Dumba »
- « Honourable Brigands, Magic Horses and Evil Eye »
- “Musique des Tziganes de Roumanie”

Un seul disque de Christian Toucas. Je regrette qu’il n’en ait pas sorti d’autres, du moins à ma connaissance, car celui-ci m’avait enchanté :

- « Erranza »

Toujours en T, un disque d’un quatuor d’accordéons diatoniques :

- « Travessa da Espera, danças ocultas »

Les quatre accordéonistes sont portugais. Leur musique, pleine de finesse, est propice à la rêverie. C’est une invitation au voyage dans l’espace et dans le temps.

Un disque étrange, que j’ai encore classé en T, plutôt que de le classer en I ou en J. Il s’agit en effet d’un disque où Francis Jauvin et Didier Ithursarry jouent de l’accordina et de l’accordéon, accompagnés par Christophe Bras à la batterie :

- « Accordina Jazz »

Pour ne pas choisir entre les deux, j’ai décidé de le classer sous l’intitulé : Trio Jauvin – Ithursarry – Bras.

Même chose pour le Trio Dobrogea :

- « Musique traditionnelle de Roumanie »

Même chose encore pour :

- « Trio Trad, Made in Belgium » avec Didier Laloy à l’accordéon diatonique. Il y a en particulier un titre, « Cum Dederit », extrait du Nisi Dominus de Vivaldi, qui est superbe.

Et l’on en vient tout naturellement à la lettre V. Une lettre fort intéressante :

- « Accordion A La Mode » d’Art Van Damme ». Ce cd reprend deux 33 tours stéréo : « Accordion A La Mode » et « A Perfect Match, The Art Van Damme Quintet with Johnny Smith ». Accordéon – jazz donc !

Tout de suite après, accordéon classique de concert :

- « The Goldberg Variations » de Mika Väyrynen

Très différent de l’un et de l’autre :

- “ Cascade” de David Venitucci

Pour terminer, retour aux sources avec Gus Viseur :

- « De Clichy à Paris »
- « Gus Viseur à Bruxelles » dans la collection « Les As du Musette », illustration de couverture par R. Crumb.

Un dernier pour la route… un disque d’initiale W :

- « Time Zone » de Christophe Wallemme, contrebasse.

Où est l’erreur, si ce W est celui de Wallemme, qui joue de la contrebasse ? Il n’y a pas d’erreur, car sur son disque il a invité David Venitucci et Daniel Mille. C'est cela qui justifie la présence de ce cd à cette place dans la liste, sinon à qui l'attribuer : Ventucci ou Mille ?

Liste provisoirement définitive ou définitivement provisoire…comme l’on voudra.

D’autre part, prochainement, il faudra bien que je m’attaque au bandonéon dont, chemin faisant, je me suis rendu compte qu’il tenait bien sa place et bien de la place à côté de l’accordéon.