samedi 23 décembre
… les « petits » sont arrivés de Toulouse. Nadja est arrivée par le train avec Charlotte et Camille vers 12h30 ; Sébastien est arrivé par la route vers 16h00. Le coffre de la voiture tenait lieu en effet de hotte du Père Noël et il était préférable que Charlotte et Camille ne voyagent pas en compagnie d’un tel Père Noël. Dès leur entrée dans le jardin, elles ont admiré un (autre) Père Noël occupé à escalader le toit avec une échelle de corde et la guirlande qui monte à l’assaut du prunier. Entre l’installation de la troupe et quelques occupations nécessaires liées à la préparation du réveillon, j’ai eu peu de temps à consacrer à la musique… d’autant plus que Françoise a fait écouter aux petites un cd de chants de Noël très New-Orleans.
Malgré tout, j’ai pu écouter attentivement « Solo », qui aurait pu s’écrire « Solos » tant Richard Galliano combine entre eux ses solos d’accordéons et de bandonéons. Au départ, mon attention était orientée par le projet de comparer ce disque avec « Ballet Tango », mais très vite celui-ci a fait place au simple plaisir d’écouter des titres que je connais bien et que j’aime. A la vérité, je ne saisis guère de différence qualitative entre les deux disques, qu’il s’agisse de la qualité technique ou de l’organisation des titres, un peu différente dans l’une et l’autre version. Reste le plaisir pur d’écouter « Adios Nonino », « Oblivion » ou « Chiquilin de Bachin », tous les trois pour quatre accordéons et bandonéon solo, ou encore « Pedro y Pedro » pour accordéon solo. Sans compter que peu à peu j’apprécie de mieux en mieux les quatre parties de la suite « Ballet Tango » et les trois préludes pour piano que Piazzolla avait demandé à Galliano d’arranger pour accordéon.
Mon approche analytique initiale a laissé place, chemin faisant, au pur plaisir esthétique… et c’est bien. La preuve : j’ai commencé mon écoute, assis dans mon fauteuil de bureau, les pieds posés sur mon bureau, j’ai continué en marchant de long en large. Décidément, je ne sais écouter le tango ou le bandonéon qu’en marchant…
Malgré tout, j’ai pu écouter attentivement « Solo », qui aurait pu s’écrire « Solos » tant Richard Galliano combine entre eux ses solos d’accordéons et de bandonéons. Au départ, mon attention était orientée par le projet de comparer ce disque avec « Ballet Tango », mais très vite celui-ci a fait place au simple plaisir d’écouter des titres que je connais bien et que j’aime. A la vérité, je ne saisis guère de différence qualitative entre les deux disques, qu’il s’agisse de la qualité technique ou de l’organisation des titres, un peu différente dans l’une et l’autre version. Reste le plaisir pur d’écouter « Adios Nonino », « Oblivion » ou « Chiquilin de Bachin », tous les trois pour quatre accordéons et bandonéon solo, ou encore « Pedro y Pedro » pour accordéon solo. Sans compter que peu à peu j’apprécie de mieux en mieux les quatre parties de la suite « Ballet Tango » et les trois préludes pour piano que Piazzolla avait demandé à Galliano d’arranger pour accordéon.
Mon approche analytique initiale a laissé place, chemin faisant, au pur plaisir esthétique… et c’est bien. La preuve : j’ai commencé mon écoute, assis dans mon fauteuil de bureau, les pieds posés sur mon bureau, j’ai continué en marchant de long en large. Décidément, je ne sais écouter le tango ou le bandonéon qu’en marchant…
1 Comments:
Bonjour Michel,
Pur plaisir, c'est bien de cela qu'il s'agit dès que l'entend cet illustre jazzman qu'est Richard Galliano.
Je me rappelle d'un concert avec son Quintet à cordes "Piazzolla for ever", au Théatre de Grenoble : un concert tout en acoustique, sans aucun micro, où la qualité du son et la finesse de perception musicale ne pouvait que créer le plus magnifique plaisir musical.
Un grand moment de musique, teinté de l'émotion perceptible de Richard galliano interprétant les pièces de son maître Astor Piazzolla.
Bien musicalement,
Sylvie Jamet
http://sylviejamet.over-blog.com
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