vendredi 22 décembre
… hier, Régine P…est venue déjeuner à l’impromptu. Repas vite fait : avocats, épaule d’agneau, frites, fromage du pays, fruits (clémentines de Corse et raisin), macarons de chez Thibaud, café arabica du Costa-Rica, vin des côtes de Blaye. Agréable ! On a tout mangé en discutant de choses et d’autres.
… en milieu d’près-midi, visite à la Fnac pour faire quelques achats. Les parkings alentour sont « complets ». On est obligé d’aller se garer à… cinq minutes à pieds. A Pau, quand tout est encombré et que l’on a des difficultés à trouver des places de parking, on est toujours au plus à quelques minutes du centre. C’est le charme de la province provinciale… Le charme aussi de ce sud-ouest entre Espagne, Océan et Pyrénées.
Deux choses à faire à la Fnac, outre quelques cadeaux pour les uns et les autres : cds, dvds, chèques-cadeaux, livres et autres gadgets électroniques…
- d’abord, nous achetons deux places pour le concert de Daniel Brel et Nial Doya, le 5 mai au « Monte-Charge ». Après avoir payé, je demande où nous sommes placés, persuadé (c’est un peu naïf, j’en conviens) que nous devons être parmi les premiers à avoir retenu nos places. Je constate alors que nous sommes placés au sixième rang et j’apprends à l’occasion que la location par la Fnac commence avec ce sixième rang. Bizarre ! Du coup, nous nous rendons directement au « Monte-Charge » où j’explique mon problème et où j’échange sans difficulté mes deux sixième rang pour deux premiers rangs : A2 et A4. Merci à la direction du théâtre qui nous a arrangé l’affaire avec la meilleure bonne volonté et avec un mot enthousiaste pour nous recommander vivement le concert ;
- ensuite, je cherche en vain le dernier disque de Galliano, « Solo », dont la sortie, annoncée déjà pour le 20 novembre, a été repoussée au 18 décembre. Ce disque, signalé comme nouveauté sur les sites Fnac et Alapage, me parait bizarre… Depuis le début, j’ai noté qu’il s’agit en fait du disque de 1992, « Ballet Tango » et j’ai été surpris de le voir présenté comme nouveauté. Finalement, une vendeuse me montre le disque, placé dans un endroit peu visible et non en nouveauté, pas même au nom de Galliano. Comme je m’en étonne, elle me fait part des difficultés liées à la sortie de ce cd… au point de se demander s’il ne sera pas retiré de la vente. Au cours de notre conversation, elle m’apprend qu’il leur est recommandé de ne pas communiquer à propos de ce disque. Tout ça, ça sent un peu les conflits d’intérêts entre éditeurs. Affaire à suivre… Je continue cependant à m’étonner qu’on puisse ainsi sortir un même disque sous deux noms différents. Si l’on y regarde de près cependant, on peut noter que l’ordre des titres a été un peu modifié et, comme l’indique Galliano dans une courte présentation, la « remasterisation » a donné plus de chaleur, plus de lisibilité et, je dirais, plus de profondeur au son. En revanche, les indications techniques de « Solo » sont moins précises que celles de « Ballet Tango ».
Dans les deux cas, même si tout s’arrange au mieux : on obtient, après coup, les meilleures places possibles, alors que dans un premier temps l’information est floue (comment imaginer qu’un début de location commence au rang 6) ; on écoute un disque dont le son est finalement meilleur que l’original, mais comment se douter dans le premier temps que ce disque date de 1992 et qu’il sort à nouveau aujourd’hui sous le masque d’un nouveau nom. La société de communication n’est pas synonyme de société d’information. On le savait déjà grâce aux politiques…
… en milieu d’près-midi, visite à la Fnac pour faire quelques achats. Les parkings alentour sont « complets ». On est obligé d’aller se garer à… cinq minutes à pieds. A Pau, quand tout est encombré et que l’on a des difficultés à trouver des places de parking, on est toujours au plus à quelques minutes du centre. C’est le charme de la province provinciale… Le charme aussi de ce sud-ouest entre Espagne, Océan et Pyrénées.
Deux choses à faire à la Fnac, outre quelques cadeaux pour les uns et les autres : cds, dvds, chèques-cadeaux, livres et autres gadgets électroniques…
- d’abord, nous achetons deux places pour le concert de Daniel Brel et Nial Doya, le 5 mai au « Monte-Charge ». Après avoir payé, je demande où nous sommes placés, persuadé (c’est un peu naïf, j’en conviens) que nous devons être parmi les premiers à avoir retenu nos places. Je constate alors que nous sommes placés au sixième rang et j’apprends à l’occasion que la location par la Fnac commence avec ce sixième rang. Bizarre ! Du coup, nous nous rendons directement au « Monte-Charge » où j’explique mon problème et où j’échange sans difficulté mes deux sixième rang pour deux premiers rangs : A2 et A4. Merci à la direction du théâtre qui nous a arrangé l’affaire avec la meilleure bonne volonté et avec un mot enthousiaste pour nous recommander vivement le concert ;
- ensuite, je cherche en vain le dernier disque de Galliano, « Solo », dont la sortie, annoncée déjà pour le 20 novembre, a été repoussée au 18 décembre. Ce disque, signalé comme nouveauté sur les sites Fnac et Alapage, me parait bizarre… Depuis le début, j’ai noté qu’il s’agit en fait du disque de 1992, « Ballet Tango » et j’ai été surpris de le voir présenté comme nouveauté. Finalement, une vendeuse me montre le disque, placé dans un endroit peu visible et non en nouveauté, pas même au nom de Galliano. Comme je m’en étonne, elle me fait part des difficultés liées à la sortie de ce cd… au point de se demander s’il ne sera pas retiré de la vente. Au cours de notre conversation, elle m’apprend qu’il leur est recommandé de ne pas communiquer à propos de ce disque. Tout ça, ça sent un peu les conflits d’intérêts entre éditeurs. Affaire à suivre… Je continue cependant à m’étonner qu’on puisse ainsi sortir un même disque sous deux noms différents. Si l’on y regarde de près cependant, on peut noter que l’ordre des titres a été un peu modifié et, comme l’indique Galliano dans une courte présentation, la « remasterisation » a donné plus de chaleur, plus de lisibilité et, je dirais, plus de profondeur au son. En revanche, les indications techniques de « Solo » sont moins précises que celles de « Ballet Tango ».
Dans les deux cas, même si tout s’arrange au mieux : on obtient, après coup, les meilleures places possibles, alors que dans un premier temps l’information est floue (comment imaginer qu’un début de location commence au rang 6) ; on écoute un disque dont le son est finalement meilleur que l’original, mais comment se douter dans le premier temps que ce disque date de 1992 et qu’il sort à nouveau aujourd’hui sous le masque d’un nouveau nom. La société de communication n’est pas synonyme de société d’information. On le savait déjà grâce aux politiques…
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