mardi 6 février
… noté, sur le site de France 2, deux vidéos de Richard Galliano [recherche : richard galliano] :
http://musique.france2.fr/
- la première, à l’occasion de « Piazzolla forever » où il commente avec simplicité et chaleur les images qui lui viennent à l’esprit lorsqu’il joue du tango. C’est simple, mais ça donne une bonne idée de son imaginaire qui, j’avais déjà eu l’occasion de le noter, est très visuel. On comprend pourquoi il ferme si souvent les yeux : il se fait son film ; ça donne une bonne idée aussi de ce que l’on pourrait appeler la culture du tango, indissolublement liée à la vie des ports, aux marins et au tangage des navires en haute mer.
- l’autre n’est pas encore visible. Elle annonce un passage à l’antenne le 9 février. D’après l’affichette d’annonce et ce que j’ai pu voir en avant-première des vidéos de la semaine, il s’agit de « Luz Negra » et, me semble-t-il, d’un court extrait du concert du New Morning.
… noté également une très bonne interview sur Arte. A mon sens, cette séquence est l’exemple même d’une vraie émission culturelle, même si sa durée est limitée. Galliano dit l’essentiel de sa philosophie en quelques mots, le lancement est un bon cadrage et l’interviewer est manifestement en empathie avec son « sujet ». Un moment dense, ce qui est assez rare dans le flux actuel de la « communication »…
http://www.arte.tv/fr/recherche/1396964.html
……….
D’autre part, j’ai classé mes cds, matériellement, suivant l’ordre alphabétique des instrumentistes, sans distinguer entre l’accordéon et le bandonéon. Cela n’est pas sans conséquences. Parfois, j’ai oublié l’initiale du nom de l’instrumentiste et je tâtonne un peu pour retrouver tel ou tel disque, parfois en classant un album à sa place, j’ai la surprise de découvrir tel autre album oublié, etc… Bien entendu, ma bibliothèque WMA me permet de varier les entrées et de retrouver ce que je cherche sans coup férir, mais c’est moins amusant. Tout en appréciant bien les rencontres aléatoires, que ce type de classement provoque, l’envie m’est venue de faire un point un peu systématique sur le bandonéon et les interprètes que j’apprécie. En route… sans se fixer ni rythme, ni durée pour aller au bout, car cela dépendra du temps que je consacrerai à l’écoute, chemin faisant.
Dès le début, je m’aperçois que j’ai dérogé à mon principe : classement par ordre alphabétique des instrumentistes.
- « Artango, Métropole », Jacques Turpin. « Fleurs fanées » de Piazzolla, superbe !
- « Artango, In Extremis », idem. Tensions.
- « Belgrano 64, Seccion Vermu, cuarteto tipico », Ramiro Boero
- « Tango Futur, Paris – Buenos Aires », Max Bonnay. Classique.
- « Quatre chemins de mélancolie », Daniel Brel. Méditation. Rencontre improbable entre bandonéon, violes et théorbe.
- « Autour du tango », idem.
- « Bando solo », idem. Variations et chemins.
http://musique.france2.fr/
- la première, à l’occasion de « Piazzolla forever » où il commente avec simplicité et chaleur les images qui lui viennent à l’esprit lorsqu’il joue du tango. C’est simple, mais ça donne une bonne idée de son imaginaire qui, j’avais déjà eu l’occasion de le noter, est très visuel. On comprend pourquoi il ferme si souvent les yeux : il se fait son film ; ça donne une bonne idée aussi de ce que l’on pourrait appeler la culture du tango, indissolublement liée à la vie des ports, aux marins et au tangage des navires en haute mer.
- l’autre n’est pas encore visible. Elle annonce un passage à l’antenne le 9 février. D’après l’affichette d’annonce et ce que j’ai pu voir en avant-première des vidéos de la semaine, il s’agit de « Luz Negra » et, me semble-t-il, d’un court extrait du concert du New Morning.
… noté également une très bonne interview sur Arte. A mon sens, cette séquence est l’exemple même d’une vraie émission culturelle, même si sa durée est limitée. Galliano dit l’essentiel de sa philosophie en quelques mots, le lancement est un bon cadrage et l’interviewer est manifestement en empathie avec son « sujet ». Un moment dense, ce qui est assez rare dans le flux actuel de la « communication »…
http://www.arte.tv/fr/recherche/1396964.html
……….
D’autre part, j’ai classé mes cds, matériellement, suivant l’ordre alphabétique des instrumentistes, sans distinguer entre l’accordéon et le bandonéon. Cela n’est pas sans conséquences. Parfois, j’ai oublié l’initiale du nom de l’instrumentiste et je tâtonne un peu pour retrouver tel ou tel disque, parfois en classant un album à sa place, j’ai la surprise de découvrir tel autre album oublié, etc… Bien entendu, ma bibliothèque WMA me permet de varier les entrées et de retrouver ce que je cherche sans coup férir, mais c’est moins amusant. Tout en appréciant bien les rencontres aléatoires, que ce type de classement provoque, l’envie m’est venue de faire un point un peu systématique sur le bandonéon et les interprètes que j’apprécie. En route… sans se fixer ni rythme, ni durée pour aller au bout, car cela dépendra du temps que je consacrerai à l’écoute, chemin faisant.
Dès le début, je m’aperçois que j’ai dérogé à mon principe : classement par ordre alphabétique des instrumentistes.
- « Artango, Métropole », Jacques Turpin. « Fleurs fanées » de Piazzolla, superbe !
- « Artango, In Extremis », idem. Tensions.
- « Belgrano 64, Seccion Vermu, cuarteto tipico », Ramiro Boero
- « Tango Futur, Paris – Buenos Aires », Max Bonnay. Classique.
- « Quatre chemins de mélancolie », Daniel Brel. Méditation. Rencontre improbable entre bandonéon, violes et théorbe.
- « Autour du tango », idem.
- « Bando solo », idem. Variations et chemins.
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