mercredi 28 février
Après un voyage en « Solo » avec Richard Galliano, je reprends le fil de mon projet : me faire de jour en jour mon choix de « Trentels ».
Aujourd’hui, je retiens, cinq titres de manière absolument subjective, parce que je trouve entre eux des correspondances que je serais bien en peine d’expliciter. Ce n’est pas un fil rouge qui les relie, mais plutôt un jeu d’associations, comme des évidences.
- Karin Küstner, « Schattensprünge » de Heiner Frauendorf. Un exercice de style. L’accordéon de concert tel qu’il s’écrit. Un monde plutôt froid. Un jeu d’ombre quasi mathématique, en tout cas très conceptuel.
- René Sopa, « Mister Richard » in « Sandunga ». Un accordéon jazzy comme une démarche chaloupée le long d’une plage déserte, tétanisée sous un soleil aveuglant. On cligne des yeux pour mieux écouter. Ici, l’ombre elle-même est brulante.
- Motion Trio, acoustic accordions, « Game VI » in « Live in Vienna ». On est dèjà dans l’univers de “Play Station”. L’enfant improbable d’accordéons de concert polonais et du Pink Floyd. Quand on a les bases, on peut tout se permettre.
- Trio PSP, « A la Guardia Nueva » d’Anibal Troilo in « Las siluetas portenas ». Quelque chose de ciselé comme un objet artisanal tellement achevé qu’on ne peut s’empêcher de le considérer comme une œuvre d’art.
- René Lacaille, « La Bou Dan Fon » in « Mapou ». Lacaille et ses multiples talents : chant, accordéon Odyssée, guitare acoustique, etc… et la famille Lacaille avec Aldo Guinart aux saxophones. Un autre accordéon chaloupé, une autre plage déserte, un même soleil accablant. On ferme les yeux pour mieux voir le paysage imaginaire de « La Bou Dan Fon ». On ne peut pas ne pas bouger. De larges palmes rêvent dans le vent sucré.
Je ne sais ce qu’il en sera réellement à Trentels et, bien sûr, j’en attends des surprises, mais pour l’instant, ma petite sélection me plait bien et plus encore les écoutes que je fais pour faire mon choix.
Aujourd’hui, je retiens, cinq titres de manière absolument subjective, parce que je trouve entre eux des correspondances que je serais bien en peine d’expliciter. Ce n’est pas un fil rouge qui les relie, mais plutôt un jeu d’associations, comme des évidences.
- Karin Küstner, « Schattensprünge » de Heiner Frauendorf. Un exercice de style. L’accordéon de concert tel qu’il s’écrit. Un monde plutôt froid. Un jeu d’ombre quasi mathématique, en tout cas très conceptuel.
- René Sopa, « Mister Richard » in « Sandunga ». Un accordéon jazzy comme une démarche chaloupée le long d’une plage déserte, tétanisée sous un soleil aveuglant. On cligne des yeux pour mieux écouter. Ici, l’ombre elle-même est brulante.
- Motion Trio, acoustic accordions, « Game VI » in « Live in Vienna ». On est dèjà dans l’univers de “Play Station”. L’enfant improbable d’accordéons de concert polonais et du Pink Floyd. Quand on a les bases, on peut tout se permettre.
- Trio PSP, « A la Guardia Nueva » d’Anibal Troilo in « Las siluetas portenas ». Quelque chose de ciselé comme un objet artisanal tellement achevé qu’on ne peut s’empêcher de le considérer comme une œuvre d’art.
- René Lacaille, « La Bou Dan Fon » in « Mapou ». Lacaille et ses multiples talents : chant, accordéon Odyssée, guitare acoustique, etc… et la famille Lacaille avec Aldo Guinart aux saxophones. Un autre accordéon chaloupé, une autre plage déserte, un même soleil accablant. On ferme les yeux pour mieux voir le paysage imaginaire de « La Bou Dan Fon ». On ne peut pas ne pas bouger. De larges palmes rêvent dans le vent sucré.
Je ne sais ce qu’il en sera réellement à Trentels et, bien sûr, j’en attends des surprises, mais pour l’instant, ma petite sélection me plait bien et plus encore les écoutes que je fais pour faire mon choix.
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