jeudi 8 mars
Quelques phrases encore pour compléter le recueil des lignes de présentation manuscrites de Richard Galliano.
- « Concerts, Michel Portal – Richard Galliano ». « La liberté de l’improvisation jazz c’est de jouer chaque soir d’une manière différente, d’inventer, de créer spontanément une musique qui véhicule des émotions, des sentiments, des couleurs… et, sans préméditation, vous raconter une belle histoire ».
- « Luz Negra ». A propos de l’enregistrement de ce disque, présenté comme une sorte de voyage transatlantique, on relève des mots comme « fusion de tango et d’aria dans le style de J.-S. Bach, tangage, fête et nostalgie, quiétude poétique, présence d’un chat chartreux, mélange avec les musiciens locaux et interprétation latinisée de la valse musette, émotions des rencontres et des passions partagées, découverte de rythmes différents ».
- et puis « Solo » (des concerts inédits), « J’ai traversé la vie avec mon accordéon sur les bras… Mon accordéon fait partie de mon corps. Je respire et expire à travers lui ». A propos de ce dernier terme, expirer, on ne peut pas ne pas penser à Molière expirant, au sens définitif du terme, en scène. L’accordéon, à la vie à la mort.
Quelques notions : l’improvisation comme spontanéité travaillée et non immédiate ou naturelle ; la musique comme un récit, plein de belles images ; la musique comme un voyage : encore les rencontres et les métissages ; l’accordéon incorporé, au sens propre du terme.
- « Concerts, Michel Portal – Richard Galliano ». « La liberté de l’improvisation jazz c’est de jouer chaque soir d’une manière différente, d’inventer, de créer spontanément une musique qui véhicule des émotions, des sentiments, des couleurs… et, sans préméditation, vous raconter une belle histoire ».
- « Luz Negra ». A propos de l’enregistrement de ce disque, présenté comme une sorte de voyage transatlantique, on relève des mots comme « fusion de tango et d’aria dans le style de J.-S. Bach, tangage, fête et nostalgie, quiétude poétique, présence d’un chat chartreux, mélange avec les musiciens locaux et interprétation latinisée de la valse musette, émotions des rencontres et des passions partagées, découverte de rythmes différents ».
- et puis « Solo » (des concerts inédits), « J’ai traversé la vie avec mon accordéon sur les bras… Mon accordéon fait partie de mon corps. Je respire et expire à travers lui ». A propos de ce dernier terme, expirer, on ne peut pas ne pas penser à Molière expirant, au sens définitif du terme, en scène. L’accordéon, à la vie à la mort.
Quelques notions : l’improvisation comme spontanéité travaillée et non immédiate ou naturelle ; la musique comme un récit, plein de belles images ; la musique comme un voyage : encore les rencontres et les métissages ; l’accordéon incorporé, au sens propre du terme.
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