lundi 27 août
La température de l’après-midi est caniculaire. Les « petits » sont partis tôt ce matin pour un dernier bain à Hossegor. J’ai tondu la pelouse avant le déjeuner et déjà la chaleur était écrasante. L’air est immobile, mais l’on sent bien que ce soir, cette nuit, demain matin au plus tard des orages éclateront sur les Pyrénées. Hier soir, j’ai arrosé abondamment le pot de courgettes que Charlotte et Camille ont amené de Toulouse pour qu’on en prenne soin pendant l’été à Pau. Ce qui a été fait. Nous avons mangé deux courgettes de cette culture. On a pris soin aussi du pied de tomates : elles sont trois, dont deux rouges, qu’il faut cueillir. Il y a quelques jours, nous avions récolté notre plantation de pommes de terre. Charlotte et Camille en ont fait un plat de pommes sautées à la poêle, qu’elles ont trouvées délicieuses. On a bien entretenu les pots de basilic et de ciboulette pour les salades. Ils semblent avoir trouvé leur terrain au pied de l’olivier de Françoise. Tous les matins, en ouvrant les fenêtres, nous comptons les fleurs d’un jour qui s’entortillent dans ses branches pâles.
Françoise est partie faire quelques courses en ville et sans doute chercher un ou deux livres pour ses longues heures d’insomnie. Je suis seul dans la maison aux volets mi-clos.
Je sais que j’ai suffisamment de temps devant moi, sauf coup de téléphone impromptu, pour écouter une sélection de morceaux en toute quiétude. J’en profite pour reprendre un cd que je me suis fait à mon usage personnel et qui est composé de sept versions de la valse de Murena et Colombo, « Indifférence ».
- Murena in « Swing accordion »
- Murena in « Valse des pionniers », in « From Valse to Swing » de Rivière
- O’Connor in « Paris Musette 3 » (même version dans « Le son du Musette »)
- Sylvestre in « Valses Caprices »
- Portal et Galliano in « Concerts »
- Bolovaris in « Paris Musette 2 »
- Rivière in « From Valse to Swing »
J’y ajoute la version de Galliano et Tangaria in “Luz Negra” et une version de Lubat et Minvielle, que j’avais découverte il y a quelques jours sur YouTube,
http://www.youtube.com/watch?v=IYS_6ASp7YY
Neuf versions à la suite… Que demander de plus ? Une dixième ? J’ai en tête le souvenir d’une version donnée par Galliano et Tangaria Quintet à Foix, d’une autre donnée à Toulouse par Marcel Loeffler, d’une autre de Lacaille à Trentels… Mon souhait évidemment serait d’en avoir les enregistrements, mais bon, c’est déjà un grand plaisir de pouvoir écouter ces neuf versions et de se remémorer les émotions des versions live. C’est un plaisir d’autant plus vif que chaque version a ses particularités et que cette écoute « massée » et, si je puis dire, récurrente me permet d’en prendre conscience dans l’espace vide de la maison. Une parenthèse de bonheur !
Françoise est partie faire quelques courses en ville et sans doute chercher un ou deux livres pour ses longues heures d’insomnie. Je suis seul dans la maison aux volets mi-clos.
Je sais que j’ai suffisamment de temps devant moi, sauf coup de téléphone impromptu, pour écouter une sélection de morceaux en toute quiétude. J’en profite pour reprendre un cd que je me suis fait à mon usage personnel et qui est composé de sept versions de la valse de Murena et Colombo, « Indifférence ».
- Murena in « Swing accordion »
- Murena in « Valse des pionniers », in « From Valse to Swing » de Rivière
- O’Connor in « Paris Musette 3 » (même version dans « Le son du Musette »)
- Sylvestre in « Valses Caprices »
- Portal et Galliano in « Concerts »
- Bolovaris in « Paris Musette 2 »
- Rivière in « From Valse to Swing »
J’y ajoute la version de Galliano et Tangaria in “Luz Negra” et une version de Lubat et Minvielle, que j’avais découverte il y a quelques jours sur YouTube,
http://www.youtube.com/watch?v=IYS_6ASp7YY
Neuf versions à la suite… Que demander de plus ? Une dixième ? J’ai en tête le souvenir d’une version donnée par Galliano et Tangaria Quintet à Foix, d’une autre donnée à Toulouse par Marcel Loeffler, d’une autre de Lacaille à Trentels… Mon souhait évidemment serait d’en avoir les enregistrements, mais bon, c’est déjà un grand plaisir de pouvoir écouter ces neuf versions et de se remémorer les émotions des versions live. C’est un plaisir d’autant plus vif que chaque version a ses particularités et que cette écoute « massée » et, si je puis dire, récurrente me permet d’en prendre conscience dans l’espace vide de la maison. Une parenthèse de bonheur !
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