dimanche 30 décembre - angelo di pippo
… écouté aujourd’hui à plusieurs reprises le cd « Arthur Street » d’Angelo Di Pippo, que j’avais reçu par « Paris Jazz Corner » il y a quelques jours. Je dois avouer que j’avais peu d’informations sur cet accordéoniste si ce n’est une notice de quelques lignes dans le numéro de référence de « Jazzman » d’avril 2005 en partie consacré aux rapports entre l’accordéon et le jazz. Je cite : « L’un des élèves de l’accordéoniste Joe Biviano. A New York dans les années cinquante, il dirige un quartet comprenant le flûtiste Sam Most. Ayant survécu au rock grâce à ses arrangements, il retourne en studio en 1992 avec le tromboniste Jim Pugh.
A écouter : « Arthur Street », 1992, Stash / Import »
C’est donc précisément ce disque que j’ai le plaisir d’écouter. Non une réédition, mais bien un exemplaire de l’édition originale. La notice succincte, mais précise, est un peu jaunie et cela aussi est émouvant. Je trouve en effet touchant de penser que j’ai ouvert la protection de ce cd, qui est resté intact pendant quinze ans. La belle au bois dormant…
Je lis au dos de la pochette les indications suivantes : « Angelo Di Pippo, accordion ; Jay Berliner, guitar ; David Finck, bass ; Ron Zito, drums ; Jim Pugh, trombone (on tracks 1, 3 & 10 only ; Jack Jennings, percussion (on tracks 5, 7 & 10 only). On this album, Angelo Di Pippo plays a custom built Bell acoustic accordion with four and five sets of hand-made reeds a doubletone chamber”.
Parmi les dix morceaux, plusieurs me touchent d’emblée : “Arthur Street” d’A. Di Pippo, « Lover Man », un classique de Billie Holiday, « Wave » d’Antonio Carlos Jobim ou encore « Petite fleur » de Sidney Bechet ; une version tout en douceur.
Mais en écoutant cet album, je me rends compte qu’une sorte de réseau se construit dans ma tête, réseau plus ou moins informel, où figurent Jo Basile, Art Van Damme, Franck Marocco et donc Angelo Di Pippo. Un jazz décontracté où les accordéonistes, munis d’engins costauds comme des camions, semblent se déplacer sur un fil ténu comme une toile d’araignée.
A écouter : « Arthur Street », 1992, Stash / Import »
C’est donc précisément ce disque que j’ai le plaisir d’écouter. Non une réédition, mais bien un exemplaire de l’édition originale. La notice succincte, mais précise, est un peu jaunie et cela aussi est émouvant. Je trouve en effet touchant de penser que j’ai ouvert la protection de ce cd, qui est resté intact pendant quinze ans. La belle au bois dormant…
Je lis au dos de la pochette les indications suivantes : « Angelo Di Pippo, accordion ; Jay Berliner, guitar ; David Finck, bass ; Ron Zito, drums ; Jim Pugh, trombone (on tracks 1, 3 & 10 only ; Jack Jennings, percussion (on tracks 5, 7 & 10 only). On this album, Angelo Di Pippo plays a custom built Bell acoustic accordion with four and five sets of hand-made reeds a doubletone chamber”.
Parmi les dix morceaux, plusieurs me touchent d’emblée : “Arthur Street” d’A. Di Pippo, « Lover Man », un classique de Billie Holiday, « Wave » d’Antonio Carlos Jobim ou encore « Petite fleur » de Sidney Bechet ; une version tout en douceur.
Mais en écoutant cet album, je me rends compte qu’une sorte de réseau se construit dans ma tête, réseau plus ou moins informel, où figurent Jo Basile, Art Van Damme, Franck Marocco et donc Angelo Di Pippo. Un jazz décontracté où les accordéonistes, munis d’engins costauds comme des camions, semblent se déplacer sur un fil ténu comme une toile d’araignée.
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home