samedi 5 juillet - musique tzigane
Françoise, Nadja, Charlotte et Camille sont parties pour Hossegor avant la ruée des vacanciers de juillet vers les plages de l’Atlantique. Je suis resté à Pau pour cause de soutien à mes vieux parents, las de la vie, mais fort heureusement solides malgré les maux qui les accablent. Pendant qu’elles faisaient route vers la villa, je n’ai pu résister au désir d’aller faire un tour dans l’espace culturel de l’hypermarché pour voir, si par hasard, il ne resterait pas un disque d’accordéon dont la présence m’aurait échappé. Pendant que je parcours le rayon des cds, un appel téléphonique de Françoise me rassure : elles sont bien arrivées, elles ont ouvert la maison, l’eau, l’électricité et les volets roulants électriques ; elles sont attablées dans un restaurant du bord du lac (nous continuons à dire "Chez Lamoliate", alors qu'il a été racheté par le rugbyman Olivier Roumat, joueur de Dax et de Biarritz, ex-international, "spécialiste" sur Canal + Sport ; elles ont commandé des moules / frites (les portions sont énormes !) et un petit blanc sec du pays. Tradition ! Tradition ! Les petites sont ravies (d’autant plus que les glaces s’annoncent grandioses) et les grandes ne le sont pas moins. Je peux donc continuer ma recherche tout à loisir, l’esprit tranquille.
J’avais déjà remarqué un disque de musique tzigane dont j’avais écouté des extraits :
- « Traio Romano, Ciunta kan ! », disque enregistré à Carcassonne en 2005.
Cinq musiciens : Gavril Borki « Gavris », guitare et chant ; Lise Oustric Borki, clarinette et chant ; Gheorghe Lakatus « Ghita », accordéon et chant ; Cecilia Juhasz « Sili", violon ; Florin Zimmermann « Flintic », contrebasse et chant.
L’écoute de ce disque a accompagné mes grignotages de charcuteries diverses et de prunes cueillies directement sur l’arbre dont les branches plient sous le poids des fruits. Confitures ! Confitures ! Les merles sont comme des fous : ils picorent les prunes d’un seul coup de bec, sec et sans remords. Le fruit tombe au sol avant de fondre sous la chaleur du soleil en brulant l’herbe qui l’a accueillie. D’ici deux à trois jours je vais recommencer ma tournée des voisins pour leur offrir mes prunes. Elles sont rustiques certes, mais fort appréciées pour les confitures.
Deux petites bières blanches « Hoegarden » (25 cl) pour accompagner la chute du soleil qui rougit l’horizon. Un disque que je qualifierais de classique. Cinq titres sur les seize sont des instrumentaux, que j’apprécie bien. Rien de révolutionnaire certes, mais un boulot d’artisan bien fait. Et puis, j’ai toujours un faible pour l’association accordéon / clarinette. Il n’est pas toujours nécessaire de se retrouver sur des sommets de l’art pour trouver du plaisir à l’écoute d’un bon disque, qui donne ce qu’il promettait, ni plus ni moins. Parfois les Balkans poussent une pointe vers l'Espagne. Une sorte de flamenco balkanique... avec un violon qui joue son rôle de violon. Que demander de plus ?
J’avais déjà remarqué un disque de musique tzigane dont j’avais écouté des extraits :
- « Traio Romano, Ciunta kan ! », disque enregistré à Carcassonne en 2005.
Cinq musiciens : Gavril Borki « Gavris », guitare et chant ; Lise Oustric Borki, clarinette et chant ; Gheorghe Lakatus « Ghita », accordéon et chant ; Cecilia Juhasz « Sili", violon ; Florin Zimmermann « Flintic », contrebasse et chant.
L’écoute de ce disque a accompagné mes grignotages de charcuteries diverses et de prunes cueillies directement sur l’arbre dont les branches plient sous le poids des fruits. Confitures ! Confitures ! Les merles sont comme des fous : ils picorent les prunes d’un seul coup de bec, sec et sans remords. Le fruit tombe au sol avant de fondre sous la chaleur du soleil en brulant l’herbe qui l’a accueillie. D’ici deux à trois jours je vais recommencer ma tournée des voisins pour leur offrir mes prunes. Elles sont rustiques certes, mais fort appréciées pour les confitures.
Deux petites bières blanches « Hoegarden » (25 cl) pour accompagner la chute du soleil qui rougit l’horizon. Un disque que je qualifierais de classique. Cinq titres sur les seize sont des instrumentaux, que j’apprécie bien. Rien de révolutionnaire certes, mais un boulot d’artisan bien fait. Et puis, j’ai toujours un faible pour l’association accordéon / clarinette. Il n’est pas toujours nécessaire de se retrouver sur des sommets de l’art pour trouver du plaisir à l’écoute d’un bon disque, qui donne ce qu’il promettait, ni plus ni moins. Parfois les Balkans poussent une pointe vers l'Espagne. Une sorte de flamenco balkanique... avec un violon qui joue son rôle de violon. Que demander de plus ?
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