dimanche 24 décembre
… d’abord, nous avons diné en famille. Un petit apéritif : toasts de foie gras de chez Guillemot, petits canapés chauds à l’ananas, champagne brut Desmoulins, marque à laquelle nous sommes fidèles depuis 1989. Ce champagne a accompagné tous les moments « historiques » de la famille : mariage, naissances, concours, etc… C’est pourquoi nous en avons toujours deux caisses d’avance en cas de besoin.
On a gardé le champagne sur l’entrée de coquilles Saint-Jacques. Ensuite, poulettes farcies à l’ancienne, suivant une recette de Ducasse réalisée par Nadja, avec pommes sautées et cèpes. On n’en laisse pas une miette, si bien qu’après la salade, des sucrines, nous renonçons au fromage du pays. J’ai ouvert un Saint-Emilion, acheté dans une foire aux vins, que nous nous accordons à trouver tout à fait à notre goût. « Saint-Emilion Grand Cru, Château La Clotte, grand Cru classé, appellation saint-émilion grand cru contrôlée, 1989, mis en bouteille au château ». On finit le repas avec une bûche glacée, Désir Caraïbe, crème glacée vanille, sorbet fruits exotiques, coulis framboise, biscuit madeleine. Café arabica du Costa-Rica.
C’est ainsi que l’on arrive à 23 heures. Charlotte et Camille, après avoir regardé « Le soldat rose », sont inquiètes. Elles se demandent si le Père Noël va bien passer… En attendant minuit moins le quart, nous écoutons successivement Daniel Colin (« Les yeux noirs », « Mon Amant de Saint-Jean », « Germaine »), Armand Lassagne («Le Tournis », « Made in Valse », « Swing valse »), Jean-Luc Amestoy (« Espina », « La petite valse de derrière les fagots ») et Michel Macias (« La Rabouine », « La Godasse »). « Les filles » dansent comme des folles.
…à minuit moins le quart, ça devient sérieux… il ne faudrait pas que le Père Noël tombe nez à nez avec Charlotte et Camille au pied du sapin. Comme les autres années, elles s’enferment donc dans leur chambre avec Sébastien pour veiller sur elles dans le noir, et dans le plus grand silence. Quelques minutes plus tard, il est quasiment minuit, grand fracas à la porte d’entrée, des bruits de paquets jetés à terre et de papier-cadeau froissé, des pas lourds, puis silence… On entend cependant claquer le portail sur la rue. Charlotte et Camille se précipitent pour vérifier une fois encore que le Père Noël a disparu sans qu’on puisse l’apercevoir. Mais il a laissé des cadeaux…
… quand on a fini d’ouvrir tous les paquets, toutes les boites et que le sol est comme un champ de bataille de jouets, Camille s’extasie de constater que le Père Noël lui a porté tout ce qu’elle avait commandé… de même pour sa sœur. Il n’a rien oublié. C’est cela qui lui parait le plus étonnant, quasiment miraculeux.
Post-scriptum.- Les quatre disques d’où sont tirés les titres que nous avons écoutés sont :
- « Passion Gitane », Daniel Colin, swing musette & Jazz manouche, 2002, Djaz records
- « Le Tournis », Armand Lassagne, 2003, Le chant du monde, Harmonia Mundi
- « Le fil », Amestoy Trio, 2003, Daqui, Harmonia Mundi
- « CaïCaïCaï », Michel Macias, 2000, Daqui Harmonia Mundi
On a gardé le champagne sur l’entrée de coquilles Saint-Jacques. Ensuite, poulettes farcies à l’ancienne, suivant une recette de Ducasse réalisée par Nadja, avec pommes sautées et cèpes. On n’en laisse pas une miette, si bien qu’après la salade, des sucrines, nous renonçons au fromage du pays. J’ai ouvert un Saint-Emilion, acheté dans une foire aux vins, que nous nous accordons à trouver tout à fait à notre goût. « Saint-Emilion Grand Cru, Château La Clotte, grand Cru classé, appellation saint-émilion grand cru contrôlée, 1989, mis en bouteille au château ». On finit le repas avec une bûche glacée, Désir Caraïbe, crème glacée vanille, sorbet fruits exotiques, coulis framboise, biscuit madeleine. Café arabica du Costa-Rica.
C’est ainsi que l’on arrive à 23 heures. Charlotte et Camille, après avoir regardé « Le soldat rose », sont inquiètes. Elles se demandent si le Père Noël va bien passer… En attendant minuit moins le quart, nous écoutons successivement Daniel Colin (« Les yeux noirs », « Mon Amant de Saint-Jean », « Germaine »), Armand Lassagne («Le Tournis », « Made in Valse », « Swing valse »), Jean-Luc Amestoy (« Espina », « La petite valse de derrière les fagots ») et Michel Macias (« La Rabouine », « La Godasse »). « Les filles » dansent comme des folles.
…à minuit moins le quart, ça devient sérieux… il ne faudrait pas que le Père Noël tombe nez à nez avec Charlotte et Camille au pied du sapin. Comme les autres années, elles s’enferment donc dans leur chambre avec Sébastien pour veiller sur elles dans le noir, et dans le plus grand silence. Quelques minutes plus tard, il est quasiment minuit, grand fracas à la porte d’entrée, des bruits de paquets jetés à terre et de papier-cadeau froissé, des pas lourds, puis silence… On entend cependant claquer le portail sur la rue. Charlotte et Camille se précipitent pour vérifier une fois encore que le Père Noël a disparu sans qu’on puisse l’apercevoir. Mais il a laissé des cadeaux…
… quand on a fini d’ouvrir tous les paquets, toutes les boites et que le sol est comme un champ de bataille de jouets, Camille s’extasie de constater que le Père Noël lui a porté tout ce qu’elle avait commandé… de même pour sa sœur. Il n’a rien oublié. C’est cela qui lui parait le plus étonnant, quasiment miraculeux.
Post-scriptum.- Les quatre disques d’où sont tirés les titres que nous avons écoutés sont :
- « Passion Gitane », Daniel Colin, swing musette & Jazz manouche, 2002, Djaz records
- « Le Tournis », Armand Lassagne, 2003, Le chant du monde, Harmonia Mundi
- « Le fil », Amestoy Trio, 2003, Daqui, Harmonia Mundi
- « CaïCaïCaï », Michel Macias, 2000, Daqui Harmonia Mundi
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