lundi 11 décembre
Un exemple de petit bonheur ordinaire !
Mercredi, en fin d’après-midi, je suis allé faire quelques courses alimentaires à l’hypermarché. Gros approvisionnement, le caddie qui déborde, car à partir de jeudi, nous devions rejoindre « les petits » à Toulouse et apporter dans nos bagages quelques victuailles pour « tenir » jusqu’au week-end : des légumes, des conserves, des spaghettis, un rôti, une épaule de mouton, des chipolatas, divers fromages, du comté, du brebis, du brie fermier, du vin, Haut-Médoc, côtes de Bourg, côtes de Blaye, Graves, des bières, Hoegaarden, Kwak, Corona, du thè, du café, des chocolats du commerce équitable, etc… sans compter des bananes, des pommes, des clémentines corses et des pruneaux dénoyautés. Bref, un gros marché et une longue attente pour passer à la caisse. Dehors, un vilain crachin froid ; il neige, c’est sûr, sur les sommets… Le parking encombré. Les gens énervés. Je ne vais pas me trouver d’excuses, mais ça justifie amplement mon envie de passer par l’espace culturel avec deux bons alibis avant de retourner à la maison. Premier alibi : il est question depuis le 20 novembre de la sortie d’un disque de Galliano, « Solo », annoncé comme nouveauté et qui me parait être une réédition de « Ballet Tango », et je voudrais bien voir s’il est arrivé. En fait, toujours rien. Deuxième alibi : Françoise aimerait bien écouter Krakauer. Mais, rien sur les rayons. J’étais un peu déçu quand un disque mal placé attire mon regard :
- « Les heures tranquilles » de Daniel Mille.
Etonnant ! Un disque édité par « Saravah » de Pierre Barouh en 1995. Un disque classé indisponible chez les grands distributeurs. Si ça se trouve, Leclerc en a racheté un fonds destiné au pilon… et voilà comment j’y tombe dessus. Autre particularité : il a été enregistré et mixé par Marc Berthoumieux au studio « Sous la ville ».
On y trouve le climat « Saravah » et déjà le son de Daniel Mille. Un Daniel Mille surprenant, qu’une photographie montre la tête recouverte d’un couvre-chef brodé, comme un couvercle de boite à bijoux, d’où l’on voit dépasser des cheveux sombres. Surprenante la chevelure !
Une telle rencontre improbable, à 19h30, sur un rayon de disques de l’espace culturel de l’hypermarché, voilà ce que j’appelle un petit bonheur. D’autant plus que le prix du disque est inférieur à 10 euros…
Mercredi, en fin d’après-midi, je suis allé faire quelques courses alimentaires à l’hypermarché. Gros approvisionnement, le caddie qui déborde, car à partir de jeudi, nous devions rejoindre « les petits » à Toulouse et apporter dans nos bagages quelques victuailles pour « tenir » jusqu’au week-end : des légumes, des conserves, des spaghettis, un rôti, une épaule de mouton, des chipolatas, divers fromages, du comté, du brebis, du brie fermier, du vin, Haut-Médoc, côtes de Bourg, côtes de Blaye, Graves, des bières, Hoegaarden, Kwak, Corona, du thè, du café, des chocolats du commerce équitable, etc… sans compter des bananes, des pommes, des clémentines corses et des pruneaux dénoyautés. Bref, un gros marché et une longue attente pour passer à la caisse. Dehors, un vilain crachin froid ; il neige, c’est sûr, sur les sommets… Le parking encombré. Les gens énervés. Je ne vais pas me trouver d’excuses, mais ça justifie amplement mon envie de passer par l’espace culturel avec deux bons alibis avant de retourner à la maison. Premier alibi : il est question depuis le 20 novembre de la sortie d’un disque de Galliano, « Solo », annoncé comme nouveauté et qui me parait être une réédition de « Ballet Tango », et je voudrais bien voir s’il est arrivé. En fait, toujours rien. Deuxième alibi : Françoise aimerait bien écouter Krakauer. Mais, rien sur les rayons. J’étais un peu déçu quand un disque mal placé attire mon regard :
- « Les heures tranquilles » de Daniel Mille.
Etonnant ! Un disque édité par « Saravah » de Pierre Barouh en 1995. Un disque classé indisponible chez les grands distributeurs. Si ça se trouve, Leclerc en a racheté un fonds destiné au pilon… et voilà comment j’y tombe dessus. Autre particularité : il a été enregistré et mixé par Marc Berthoumieux au studio « Sous la ville ».
On y trouve le climat « Saravah » et déjà le son de Daniel Mille. Un Daniel Mille surprenant, qu’une photographie montre la tête recouverte d’un couvre-chef brodé, comme un couvercle de boite à bijoux, d’où l’on voit dépasser des cheveux sombres. Surprenante la chevelure !
Une telle rencontre improbable, à 19h30, sur un rayon de disques de l’espace culturel de l’hypermarché, voilà ce que j’appelle un petit bonheur. D’autant plus que le prix du disque est inférieur à 10 euros…
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