samedi 13 janvier (1)
J’ai reçu, hier matin, un courrier de Jacques Pellarin contenant les trois albums du duo Baïkal, que je lui avais commandés : « Eclectismes », « Souffle et souffle » et « Vagabondages ». Après avoir ouvert l’enveloppe, je suis comme Camille devant ses cadeaux de Noël, incapable de savoir par lequel commencer à les écouter. Par lequel d’entre eux en effet m’engager dans ce parcours que jalonnent les quatre albums (j’y inclus « Genesia ») ? Pour l’instant, je les regarde, je les tourne et retourne entre mes mains, je parcours les textes de présentation, j’observe les photographies, je suis impressionné… Je me donne des alibis pour différer le moment de l’écoute. Comment faire ? Ecouter chaque album in extenso, en écouter un ou deux titres de chaque, m’en remettre au hasard, à l’intuition, à des rapprochements plus ou moins fondés ? Ces hésitations ne sont que des prétextes, bien sûr… Il faut se décider. Ce sera le premier titre de « Vagabondages », « Détournement roumain » de François Castiello…
En tout cas, une chose est certaine : le fait d’avoir à ma disposition les quatre albums du duo Baïkal et de connaître d’autre part l’album de Jacques Pellarin, « Sous d’autres jazzitudes », cela devrait orienter mon écoute. Comment ? Je n’en sais rien, mais ce qui est sûr, c’est que je ne peux mettre entre parenthèse ce que je sais. En tout cas, l’idée d’avoir affaire à une totalité achevée et de pouvoir accéder à ses parties immédiatement, cette idée m’intéresse au plus haut point. C’est en effet un rapport à une œuvre finalement assez rare.
En tout cas, une chose est certaine : le fait d’avoir à ma disposition les quatre albums du duo Baïkal et de connaître d’autre part l’album de Jacques Pellarin, « Sous d’autres jazzitudes », cela devrait orienter mon écoute. Comment ? Je n’en sais rien, mais ce qui est sûr, c’est que je ne peux mettre entre parenthèse ce que je sais. En tout cas, l’idée d’avoir affaire à une totalité achevée et de pouvoir accéder à ses parties immédiatement, cette idée m’intéresse au plus haut point. C’est en effet un rapport à une œuvre finalement assez rare.
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