samedi 13 janvier (2)
Hier après-midi, Françoise et moi, nous sommes allés régler quelques affaires à Hossegor. Avant de revenir à Pau, vers 16 heures, nous n’avons pu résister au désir d’aller nous promener le long de la plage. Nous avons admiré la géométrie tracée sur le sable fin par les roues des engins de nettoiement ; nous nous sommes approchés au plus près de l’écume de la marée montante ; nous nous sommes amusés à marcher derrière nos ombres immenses. Les grosses villas de style basco-landais semblaient comme alanguies dans la lumière dorée du soleil d’hiver.
Pendant la route, à l’aller et au retour, nous avons écouté avec plaisir de l’accordéon… mais je n’en dirai rien, car je continue à trouver que l’écoute de la musique en voiture est un vrai gâchis.
En tout cas, il me tarde de pouvoir écouter dans les meilleures conditions les albums de Jacques Pellarin.
Pendant la route, à l’aller et au retour, nous avons écouté avec plaisir de l’accordéon… mais je n’en dirai rien, car je continue à trouver que l’écoute de la musique en voiture est un vrai gâchis.
En tout cas, il me tarde de pouvoir écouter dans les meilleures conditions les albums de Jacques Pellarin.
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