jeudi 8 février
… en continuant mon parcours, je rencontre successivement :
- Galliano avec « Ballet Tango » (ou « Solo »), où il interprète « Adios Nonino », « Oblivion » et « Chiquilin de Bachin », pièces pour quatre accordéons et bandonéon solo. Le plus extraordinaire, c’est que la virtuosité et la performance technique n’étouffent pas l’expression.
- un beau disque de la collection « Signature », « Solo » d’Olivier Manoury. Je le cite : « Le bandonéon a toujours été pour moi un instrument magique, et d’autant plus mystérieux qu’il est devenu très rare, comme ces animaux sauvages dont on sait qu’ils existent mais qu’on ne voit que très rarement. Depuis, il rit, il pleure et respire avec moi, il dit ce qu’on ne peut pas dire avec les mots, il est devenu une partie de mon corps ».
- « Touched by Tango », Alfredo Marcucci et l’ensemble Piacevole. Un disque de grande qualité technique, dont je retiens, de Piazzolla, « Los Paraguas de Buenos Aires » et « Lo que vendra ».
- un disque que j’avais oublié, mais qui me touche et que je retrouve avec plaisir, « Con un Taladro en el Corazon » de Marcelo Mercadante. On tourne autour du quintet / sextet et ça sonne très classique dans l’expressionnisme. Je retiens « Tal Vez » chanté par Miguel Poveda. La voix, le piano, le violon et le bandonéon : déchirures…
- à propos de classicisme, « Tango para todo el Mundo », disque Winter & Winter. Osvaldo Montes, bandonéon, Anibal Arias, guitare.
J’avais oublié plusieurs de ces disques et c’est un plaisir de me les remettre en tête, comme l’on se remet un vin en bouche. Du moins, je croyais les avoir oubliés, car bientôt les sensations reviennent et le plaisir ressurgit dans un mélange d’instant présent et de mémoire.
- Galliano avec « Ballet Tango » (ou « Solo »), où il interprète « Adios Nonino », « Oblivion » et « Chiquilin de Bachin », pièces pour quatre accordéons et bandonéon solo. Le plus extraordinaire, c’est que la virtuosité et la performance technique n’étouffent pas l’expression.
- un beau disque de la collection « Signature », « Solo » d’Olivier Manoury. Je le cite : « Le bandonéon a toujours été pour moi un instrument magique, et d’autant plus mystérieux qu’il est devenu très rare, comme ces animaux sauvages dont on sait qu’ils existent mais qu’on ne voit que très rarement. Depuis, il rit, il pleure et respire avec moi, il dit ce qu’on ne peut pas dire avec les mots, il est devenu une partie de mon corps ».
- « Touched by Tango », Alfredo Marcucci et l’ensemble Piacevole. Un disque de grande qualité technique, dont je retiens, de Piazzolla, « Los Paraguas de Buenos Aires » et « Lo que vendra ».
- un disque que j’avais oublié, mais qui me touche et que je retrouve avec plaisir, « Con un Taladro en el Corazon » de Marcelo Mercadante. On tourne autour du quintet / sextet et ça sonne très classique dans l’expressionnisme. Je retiens « Tal Vez » chanté par Miguel Poveda. La voix, le piano, le violon et le bandonéon : déchirures…
- à propos de classicisme, « Tango para todo el Mundo », disque Winter & Winter. Osvaldo Montes, bandonéon, Anibal Arias, guitare.
J’avais oublié plusieurs de ces disques et c’est un plaisir de me les remettre en tête, comme l’on se remet un vin en bouche. Du moins, je croyais les avoir oubliés, car bientôt les sensations reviennent et le plaisir ressurgit dans un mélange d’instant présent et de mémoire.
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