samedi 10 février
En faisant le point sur mes cds de Piazzolla, je prends conscience que j’ai affaire à un certain nombre d’albums indépendants, mais que je n’arrive pas à les saisir comme un ensemble avec ses lignes de force et ses phases chronologiques. Je n’arrive pas à me représenter une ou quelques perspectives qui me permettraient de trouver un ordre et des relations entre eux. J’ai bien quelques connaissances sur les différentes formations de Piazzolla, sur les grandes périodes de son œuvre, mais je me rends compte qu’en fait je l’ai toujours écouté en me fiant à mon intuition, au hasard ou à l’occasion d’un achat. Les disques que je viens d’étaler sur la table de mon bureau sont comme les pièces d’un puzzle, qui attendraient que quelqu’un vienne faire l’effort de les emboiter.
Voyons nos ressources… telles qu’elles se présentent, sans même chercher à les mettre en ordre chronologiquement, car plusieurs compilations mélangent allégrement les dates des enregistrements.
- «Astor Piazzolla Quintet, théâtre national de Milan, 15 octobre 1984 » (2 cds)
- «Astor Piazzolla, Tristeza De Un Doble A », « Resurreccion del Angel, Balade para mi Muerte, Tangata del Alba, Adios Nonino, Libertango » (4 cds)
- «Astor Piazzolla », Membran Music Ltd (10 cds)
- “Astor Piazzolla, Tango Fever” (2 cds)
- “Astor Piazzolla, The Rough Guide to Astor Piazzolla”
- “Astor Piazzolla, Adios Nonino, Live au festival international de guitare”
- «Astor Piazzolla, Libertango », Digimode Entertainment Ltd
- «Astor Piazzolla, The Lausanne Concert »
- “Lalo Schifrin, Astor Piazzolla, Two Argentinians in Paris”
- “The essential Tangos of Astor Piazzolla”
- “Astor Piazzolla, Vuelvo al Sur”
- «Astor Piazzolla, L’Amour du Tango, L’Album d’une vie » (2 cds)
- «Astor Piazzolla, Tangos, Concerto pour bandonéon »
- «Astor Piazzolla, Tango, El exilio de Gardel, Sur El Viaje »
- "Astor Piazzolla and The New Tango Quintet, Tango : Zero Hour". Un titre qui, à mon sens, signifie bien la place que Piazzolla se donnait dans l'histoire du tango. A l'articulation de la fin d'un monde et à l'origine d'un tango nouveau.
Et voilà ! Certains de ces disques sont faciles à classer, comme le concert de Lausanne ou l’enregistrement du 15 octobre 1984 à Milan ou le concerto pour bandonéon, mais la plupart sont des compilations, dont les titres ne sont pas présentés chronologiquement, et donc difficiles à classer. Il va falloir que j’essaie de m’y retrouver si je ne veux pas me résoudre à écouter « du Piazzolla » sans pouvoir situer et mettre en perspective ou en réseau ce que j’écoute. Je n’ai pas ce problème avec Galliano par exemple ni même avec Perrone ; je le découvre avec une acuité particulière à l’occasion du recensement alphabétique que j’ai entrepris.
Voyons nos ressources… telles qu’elles se présentent, sans même chercher à les mettre en ordre chronologiquement, car plusieurs compilations mélangent allégrement les dates des enregistrements.
- «Astor Piazzolla Quintet, théâtre national de Milan, 15 octobre 1984 » (2 cds)
- «Astor Piazzolla, Tristeza De Un Doble A », « Resurreccion del Angel, Balade para mi Muerte, Tangata del Alba, Adios Nonino, Libertango » (4 cds)
- «Astor Piazzolla », Membran Music Ltd (10 cds)
- “Astor Piazzolla, Tango Fever” (2 cds)
- “Astor Piazzolla, The Rough Guide to Astor Piazzolla”
- “Astor Piazzolla, Adios Nonino, Live au festival international de guitare”
- «Astor Piazzolla, Libertango », Digimode Entertainment Ltd
- «Astor Piazzolla, The Lausanne Concert »
- “Lalo Schifrin, Astor Piazzolla, Two Argentinians in Paris”
- “The essential Tangos of Astor Piazzolla”
- “Astor Piazzolla, Vuelvo al Sur”
- «Astor Piazzolla, L’Amour du Tango, L’Album d’une vie » (2 cds)
- «Astor Piazzolla, Tangos, Concerto pour bandonéon »
- «Astor Piazzolla, Tango, El exilio de Gardel, Sur El Viaje »
- "Astor Piazzolla and The New Tango Quintet, Tango : Zero Hour". Un titre qui, à mon sens, signifie bien la place que Piazzolla se donnait dans l'histoire du tango. A l'articulation de la fin d'un monde et à l'origine d'un tango nouveau.
Et voilà ! Certains de ces disques sont faciles à classer, comme le concert de Lausanne ou l’enregistrement du 15 octobre 1984 à Milan ou le concerto pour bandonéon, mais la plupart sont des compilations, dont les titres ne sont pas présentés chronologiquement, et donc difficiles à classer. Il va falloir que j’essaie de m’y retrouver si je ne veux pas me résoudre à écouter « du Piazzolla » sans pouvoir situer et mettre en perspective ou en réseau ce que j’écoute. Je n’ai pas ce problème avec Galliano par exemple ni même avec Perrone ; je le découvre avec une acuité particulière à l’occasion du recensement alphabétique que j’ai entrepris.
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