jeudi 20 mars - paris "mare nostrum" : accordéons du métro

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Avec son autorisation, je fais une photographie de cet accordéoniste dont, je le répète, le jeu nous tient en haleine.
Nous restons un moment à l'écouter, puis nous remontons l'escalier. Avant de tourner le dos, nous lui faisons un dernier signe amical. C'est alors qu'à son tour il nous fait signe, comme pour nous rappeler. Je descends. Il me tend sa carte de visite. Je n'en crois pas mes yeux : "François Parisi". Nous échangeons quelques mots à propos de "Paris Musette" et de "Jazz in my Musette" . En tout cas, nous lui disons combien nous apprécions son jeu d'après ce que nous avons pu écouter de lui sur ces cds.
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Au fond, le hasard n'existe pas. Ou du moins, s'il existe une dimension objective du hasard, ici la rencontre improbable de nos projets : celui de François Parisi, installé dans cette station, le nôtre, qui nous a conduits à cette même station, il existe aussi une dimension subjective qui rend ce hasard possible. Ici, cette dimension subjective, c'est notre décision de changer de couloir pour aller à la rencontre de l'accordéon qui nous faisait signe. Le hasard, pour exister, exige qu'on le laisse advenir... Leçon à retenir et à respecter.
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Au fond, le hasard n'existe pas. Ou du moins, s'il existe une dimension objective du hasard, ici la rencontre improbable de nos projets : celui de François Parisi, installé dans cette station, le nôtre, qui nous a conduits à cette même station, il existe aussi une dimension subjective qui rend ce hasard possible. Ici, cette dimension subjective, c'est notre décision de changer de couloir pour aller à la rencontre de l'accordéon qui nous faisait signe. Le hasard, pour exister, exige qu'on le laisse advenir... Leçon à retenir et à respecter.
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