jeudi 24 juillet - jazz à junas : photonotes l'estelou
12h50. "L'Estelou" est un lieu magique. Calme et simplicité. Harmonie des couleurs chaudes et du blanc. Des aquarelles de musiciens aux murs. Des lithographies de Daniel Humair sur les meubles. Une vitrine de vins de Sommières. De bonnes odeurs d'herbes de Provence et, tout autour, le bruit des cigales qui saturent l'air sec et brûlant.
14h42. La véranda à l'arrière de l'hôtel et les plates-bandes sur le trajet des anciennes voies de chemin de fer.
14h42. La véranda à l'arrière de l'hôtel et les plates-bandes sur le trajet des anciennes voies de chemin de fer.
17h08. Autour de la piscine, quelques clients de l'hôtel, parmi lesquels des musiciens du festival avant leur départ pour Junas et les derniers réglages à finir avant 19h30.
17h16. Les reflets de la véranda me fascinent. La lumière se répercute en échos multiples et je finis par ne plus savoir si je photographie des objets réels ou leur reflet ou le reflet de leur reflet. La réalité comme un jeu de miroirs en abîme.
17h31. Les frondaisons des arbres de la colline d'en face dans les vitres de la véranda. Le bruit fait par les cigales est assourdissant.
17h32. Mes pieds en éventail. Autoportrait en pieds...
Les plaisirs d'un festival ou d'un concert sont inséparables de l'environnement. "L'Estelou" nous met dans les meilleures dispositions d'esprit, d'autant plus que durant tout notre séjour nous croiserons sans cesse des musiciens et que nous aurons le plaisir d'échanger quelques mots avec plusieurs d'entre eux. Des mots sans importance bien sûr, trois banalités sur le temps, sur le fait que nous venons de Pau, que beaucoup situent mal géographiquement, sur la distance de notre parcours (460 kilomètres aller... autant au retour), qui les étonne, sur tel ou tel de leurs disques ou de leurs concerts auxquels nous avons assisté. Conversations ordinaires, plaisirs simples d'une conversation sans importance...
17h31. Les frondaisons des arbres de la colline d'en face dans les vitres de la véranda. Le bruit fait par les cigales est assourdissant.
17h32. Mes pieds en éventail. Autoportrait en pieds...
Les plaisirs d'un festival ou d'un concert sont inséparables de l'environnement. "L'Estelou" nous met dans les meilleures dispositions d'esprit, d'autant plus que durant tout notre séjour nous croiserons sans cesse des musiciens et que nous aurons le plaisir d'échanger quelques mots avec plusieurs d'entre eux. Des mots sans importance bien sûr, trois banalités sur le temps, sur le fait que nous venons de Pau, que beaucoup situent mal géographiquement, sur la distance de notre parcours (460 kilomètres aller... autant au retour), qui les étonne, sur tel ou tel de leurs disques ou de leurs concerts auxquels nous avons assisté. Conversations ordinaires, plaisirs simples d'une conversation sans importance...
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